Occurences de l'expression

vie

pour REGNARD, Jean-Francois

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LA SÃ‰RÃ‰NADE (1694)

À la bonne heure, je reviendrai. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
Je ne fais point faire de marché à vie ; c'est un métier trop périlleux. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
C'est un fort honnête homme, fort riche, fort vieux, et fort goutteux. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
Mort de ma vie, n'êtes-vous pas déjà assez gras ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
Monsieur, le ciel m'a donné des talents merveilleux pour faire des mariages ; et je puis dire, sans vanité, qu'il n'y a guère de jour qu'il ne m'en passe quelqu'un par les mains. J'en ai même ébauché plus de mille en ma vie qui n'ont jamais été achevés ; mais j'aime trop la propagation de l'espèce, pour avoir le courage d'en rompre aucun. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
Vient-il lui demander ce que je lui dois ? (Acte 1, scène 6, VALERE)
Votre imagination m'a fait musicien par hasard ; vous verrez qu'il faudra que je le devienne par nécessité. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Il ne faut pas moins de voix pour accompagner tous les instruments. Laissez-nous faire. Je veux qu'il y ait dans cette musique-là une espèce de petit charivari qui conviendra merveilleusement bien au sujet. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Je suis ravie, ma fille, de vous voir des sentiments raisonnables, et j'ai toujours bien jugé que vous ne voudriez pas me désobéir. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Ne m'avez-vous pas dit, madame, que vous aviez conclu mon mariage ? (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
J'y demeurerai plutôt toute ma vie que d'épouser un homme que je n'aime point. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
Il ne la tient pas encore. J'ai pris le soin d'une sérénade ; il vient de négocier un certain collier : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
Et tu as un billet de Monsieur Mathieu, pour marque que tu ne viens pas à faux ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
Monsieur Grifon n'est pas au logis ; et, en attendant qu'il vienne, nous pouvons aller renouveler connaissance au cabaret. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
Tu dis donc, Marine, que tu viens de la part de Léonor. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
Elle revient à elle, j'en suis bien aise. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
Voilà une insolente qui, à mon nez, me vient chanter pouille. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
C'est votre physionomie lugubre qui l'a d'abord effarouchée : elle en reviendra peut-être, et vous aimera à la folie ; que sait-on ? (Acte 1, scène 16, MARINE)
Elle a du goût pour toutes les belles manières ; elle vend, pour jouer, tout ce qu'elle a ; elle met ses nippes en gage pour aller à l'opéra et à la comédie ; elle court le bal sept fois la semaine seulement ; elle fesse son vin de Champagne à merveille, et sur la fin du repas elle devient fort tendre. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Le voilà, monsieur ; je ne viens qu'à bonnes enseignes. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
Je suis un honnête garçon, qui connais vos besoins, et qui viens vous offrir deux cents pistoles que me va donner monsieur votre père. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
La nuit devient obscure, et le musicien devrait être ici. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR-GRIFON)
Ne serait-ce point quelque émissaire de mon coquin de fils, qui viendrait ici pour troubler la fête ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
Je ne sais, je ne m'en souviens pas. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Ce Monsieur Mathieu donc, comme de vilain à vilain il n'y a que la main, il est arrivé que, par la concomitance d'un collier..., enfin je ne me souviens pas bien de tout cela. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Tu viens un peu trop tard pour m'attraper, mon pauvre ami : si tu as le billet de Monsieur Mathieu, je t'en donnerai. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
Amis, tenez-vous tous prêts ; la bête est dans nos filets. Lorsqu'un vieux fou s'échappe d'être amoureux sur ses vieux ans, il faut qu'il mette la nappe, et qu'on boive à ses dépens. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
Fuyez d'ici, sombre vieillesse, v.7 (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
Car en amour les vieillards ne sont bons v.8 (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
Un jour un vieux hibou v.10 (Acte 1, scène 26, UNE-MUSICIENNE)
Valère, je suis mort : on vient de me voler un collier de quatre cents pistoles. (Acte 1, scène 27, MONSIEUR-GRIFON)
Tant mieux : voilà peut-être la première chose qu'il ait donnée de sa vie. (Acte 1, scène 27, MARINE)

LE JOUEUR (1692)

Je deviendrais un jour aussi gras que mon maître. v.10 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
Quelqu'un vient. v.17 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
Je viens pour rompre ici tout commerce avec lui. v.36 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Viennent, pour tout mérite, étaler leur figure ? v.62 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Il est... je ne m'en souviens pas. v.127 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
Tu ne t'en souviens pas ? v.128 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Ils reviendront bientôt. v.157 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
Hector, mon cher Hector, viens çà que je t'embrasse. v.166 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Elle viendra tantôt elle-même en personne, v.182 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
Ce que je viens d'entendre. v.201 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
Pour la dernière fois, mon fils, je viens vous dire v.234 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Que votre train de vie est si fort scandaleux, v.235 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
Que si vous ne changez de vie et de manière, v.261 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
On croirait qu'il viendrait, dans la forêt voisine, v.266 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Je reviens aujourd'hui de mon égarement, v.271 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
Je viens pour vous offrir mon petit ministère. v.322 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
Et c'est de là que vient la beauté de mon art. v.363 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
Je reviendrai demain pour la seconde fois. v.387 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
Reviens. v.388 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Je ne veux ni l'aimer, ni le voir de ma vie ; v.398 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
Ne me viens pas, au moins, parler en sa faveur. v.400 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
Ne viens point désormais, pour calmer mon dépit, v.403 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
Rien n'est plus à craindre dans la vie, v.441 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
ConnAisseuse en maris, vous deviez mieux choisir. v.468 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
Mais on vient. v.505 (Acte 2, scène 2, NÉRINE)
Dans la bouche d'un autre il deviendrait plus doux. v.563 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
Que mortel, quel qu'il soit, ne me dit de ma vie v.566 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
Vous me convenez fort, et je vous conviens mieux. v.575 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Et de quel droit il vient chasser sur mes plaisirs. v.588 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Je viens de voir, Monsieur, cette femme de robe, v.594 (Acte 2, scène 7, 3eme_LAQUAIS)
Je prends peu d'intérêt, Monsieur, à votre vie. v.669 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
Nérine, qu'il viendrait se percer à ma vue : v.678 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
Non, ce n'est point assez de me rendre la vie ; v.682 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
Ce coeur sans qui le jour me devient odieux. v.685 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
Que je le garde, ô ciel ! Le reste de ma vie... v.699 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
Monsieur, je viens vous dire... v.710 (Acte 2, scène 13, HECTOR)
Et si mon pauvre époux était encore en vie... v.727 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
De la vieille vaisselle au poinçon de Paris, v.741 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
Eh bien ! Nous attendrons, Monsieur, qu'il vous en vienne. v.746 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
Si vous saviez, Monsieur, ce que j'ai fait pour vous ! v.817 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
Entre nous, vous aviez fort grand tort de prétendre v.831 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
Mais le voici qui vient poussé d'un heureux vent : v.924 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
Que celui d'un joueur : sa vie est agréable ; v.959 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
Sous ses heureuses mains le cuivre devient or. v.965 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
Et l'or devient à rien. v.966 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
De vieux seigneurs toujours prêts à vous cajoler ; v.976 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
Plus agréablement peut-on passer la vie ? v.978 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
Vous voir ! C'est du plus loin, parbleu, qu'il me souvienne. v.1007 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
Je viens pourtant ici souvent faire ma cour ; v.1008 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
Je viens vous demander... v.1015 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
Et mais... si j'en avais... comptez que dans la vie v.1034 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
Personne de payer n'eut jamais tant d'envie. v.1035 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
Mais quand faudra-t-il donc, Monsieur, que je revienne ? v.1039 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
On vient civilement pour s'éclaircir d'un doute, v.1126 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
Ah ! Diable, c'est avoir une vieille querelle. v.1131 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
C'est un bien que jamais on ne vous enviera : v.1137 (Acte 3, scène 12, VALÈRE)
Ces inspirations viennent souvent du diable ; v.1155 (Acte 3, scène 13, HECTOR)
Fait vingt mauvais marchés tous les jours de sa vie ; v.1183 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
Qui va, revient, retourne, et s'use à voyager v.1188 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
Mon maître n'a hanté de tels lieux de sa vie. v.1215 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
Il vendait cher son sang et sa vie au vainqueur. v.1241 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
Comme un aide-de-camp, je viens en diligence v.1243 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
Mais Dorante qui vient... v.1256 (Acte 4, scène 3, NÉRINE)
Madame, en vérité, je n'en ai nulle envie, v.1286 (Acte 4, scène 7, DORANTE)
Et veux bien avec vous n'en parler de ma vie. v.1287 (Acte 4, scène 7, DORANTE)
J'ai cru que vous pouviez l'inspirer à votre âge. v.1299 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
Je suis au désespoir : je n'ai vu de ma vie v.1302 (Acte 4, scène 8, LA COMTESSE)
Le Marquis vient ; il faut m'assurer un parti ; v.1304 (Acte 4, scène 8, LA COMTESSE)
Il ne faut point avoir de mollesse en sa vie. v.1318 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
Dans le fond, j'en ai l'âme ravie. v.1319 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
Ce croquant, qu'à l'instant je viens de voir sortir ? v.1348 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
Eh ! Parbleu, vous deviez m'avertir ; v.1349 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
Le mariage suit, et vient après, s'il veut. v.1365 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
Il vient de la Garonne. Oh ! Parbleu, dans ce temps v.1416 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
Celui qui te viendra le premier sous la main ; v.1453 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Je veux me poignarder ; la vie est un fardeau v.1493 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Qui pour moi désormais devient insupportable. v.1494 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
Vous la trouviez pourtant tantôt bien agréable. v.1495 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
Sous ses heureuses mains le cuivre devient or, v.1497 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
Ah ! Si vous aviez lu son traité des richesses, v.1510 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
Je ne viens point, armé contre votre inconstance, v.1543 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
Mon neveu vous épouse ; et je viens seulement v.1572 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
Madame La Ressource ici ! Qu'y viens-tu faire ? v.1574 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
Charmé de vos beautés, je viens enfin, Madame, v.1610 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
Monsieur, je suis ravie v.1614 (Acte 5, scène 4, LA COMTESSE)
De m'unir avec vous le reste de ma vie. v.1615 (Acte 5, scène 4, LA COMTESSE)
Mon oncle n'était pas huissier ? Qu'il t'en souvienne. v.1642 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
Vous aviez là, ma soeur, un fort illustre amant. v.1645 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
De sa vieille mandille achète un marquisat. v.1673 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
Je viens de lui donner pour prix de ses amours, v.1696 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
C'est la seule faveur qu'on m'ait faite en ma vie. v.1703 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
Mais le voici qui vient. v.1708 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
Va, cours me le chercher, et reviens au plus tôt. v.1757 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
Que mon âme est ravie v.1774 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)

LES SOUHAITS (1700)

Ne vous plaignez donc plus des malheurs de la vie, v.7 (Acte 1, scène 1, MECURE)
Formez tous des souhaits au gré de votre envie ; v.9 (Acte 1, scène 1, MECURE)
Vous devinez assez que je viens vous prier v.14 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
En changer, si je puis, tous les jours de ma vie. v.45 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
Et je viens vous prier, par un souhait nouveau, v.73 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
Quand tu seras époux, tu deviendras peut-être v.113 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Là, je dors sans donner aucun signe de vie ; v.149 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
Je viens vous demander, pour vivre heureusement, v.156 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
Je ne viens point faire de voeux, v.181 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
Ma noblesse est plus vieille et plus pure, je crois, v.186 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
Mais, certes, je m'en meurs d'envie. v.204 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
Je me reposerai le reste de ma vie. v.208 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
Pour peu que vous vouliez en passer votre envie, v.286 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
Vous saviez que son coeur, sensible à la tendresse, v.380 (Acte 1, scène 9, MARS)

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LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÃ”TELLERIES. (1690)

Écoute, Claudine ; voici un gentilhomme qui vient loger chez moi avec sa soeur ; il faut que tu leur donnes deux chambres l'une contre l'autre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Ce gentilhomme vient loger chez moi ; il lui faut deux chambres l'une auprès de l'autre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Tiens, il me prend envie de faire une capilotade de ton foie, de ta fressure, de ton gésier. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
Je crois que monsieur Croquignolet votre père et madame Croquignolet votre mère vont être bien surpris, quand ils verront arriver dans leur boutique monsieur Mathurin Blaise Croquignolet, leur fils l'avocat, qui vient de Flandre. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
Cela n'aurait pas été honnête à moi d'y mourir, et j'aurais enragé le reste de ma vie si j'étais mort là comme un sot. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Et d'où vient ? (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
Allons, ma fille, viens me débotter. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Viens çà, ma fille ; es-tu mariée ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Sais-tu bien, petite scélérate, que je viens de l'armée ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Monsieur, on ne traite pas comme cela un gentilhomme parisien, qui revient de Flandre. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
D'où vient que monsieur se plaint de vous ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Je conviens, monsieur, qu'elle sait parfaitement bien son métier de fille ; mais c'est une petite imprudente, qui sert au premier venu ce qu'elle ne devrait servir qu'à moi seul. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
D'où vient donc, coquine, que vous faites de ces impertinences-là ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Dites monsieur, que vous n'avez pas voulu vous contenter de ce que vous aviez choisi vous-même, et que l'appétit vous est venu en mangeant. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Je me serais fort bien contenté de la poularde ; je ne suis pas si grand mangeur : mais je sais qu'on la présente à tout venant ; on l'a déjà servie sur vingt tables différentes, et je ne suis pas homme à m'accommoder du reste de toute la terre. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
Jamais personne n'y avait touché ; c'était une volaille délicate que j'avais pris soin d'élever, et que je nourrissais à la brochette avec autant de plaisir que si c'eût été moi-même ; elle faisait envie de manger à tous ceux qui la voyaient, et cependant je ne la gardais qu'à monsieur. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Il faudrait, pour satisfaire le goût de monsieur, lui servir quelque vieille volaille racornie, quelque doyenne de basse-cour. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
D'où vient donc, mademoiselle, qu'avec toutes vos connaissances, vous vous êtes laissé attraper comme une novice ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Cinthio est venu à la traverse pour prendre parti sous mes étendards ; et, si vous ne me l'aviez fait connaître pour un déserteur de profession, je ne sais si je ne l'aurais pas enrôlé. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Il ne vient point d'étranger qui n'en emporte sa provision. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Ma foi, madame, je suis bien las de vos manières ; je ne viens pas chez vous que je n'aie quelque sujet de chagrin. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Quand vous commenciez à m'aimer, vous n'en aviez point d'autres que votre amour. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Est-ce là la tendresse que vous m'aviez jurée ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Vous m'aviez tant fait de serments que votre passion serait éternelle ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Viens çà, Pierrot ; je vais à une grande expédition ; je te laisse maître en ma place : prends bien garde à la maison, et surtout qu'il ne se passe rien autour de nos filles. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Moi l'être un gentilhomme hollandais de Hollande, qui vient dans sti ville pour affaire de grand importement. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Das, dick... Mon petit ami, vous sentez votre vieux rossé. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Que la corde soit bien grosse ; voilà un fripon qui a la vie dure. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)

LE BAL (1696)

S'il me voit, ce vieillard m'éconduira peut-être v.7 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Poules de Caux, pluviers, une demi-douzaine v.27 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-GRASSET)
Oh ! Je connais vos tours. Qu'il vous souvienne v.35 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
De Falaise à Paris vient par le messager : v.82 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Le pauvre diable attend sa vie ou son trépas. v.98 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Qui pourtant, à l'envi, sans cesse vont et viennent, v.176 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
L'eau m'en vient à la bouche. v.179 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
Par avance à vos pieds vient apporter son bois. v.218 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
On a soif volontiers, quand on vient de Falaise. v.264 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Bientôt nous reviendrons, ô beauté, mon idole ! v.271 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
De monsieur Sotencour je deviendrais la femme ! v.276 (Acte 1, scène 9, LÉONORE)
Il faut qu'il vous épouse, où j'y perdrai la vie. v.280 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
Tant mieux pour vous, monsieur, j'en ai l'âme ravie ; v.299 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Ne le renvoyons pas, puisqu'il vient de si loin. v.314 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Je viens, dans ce moment, expirer à vos pieds. v.334 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
Si j'échappe une fois, je veux avoir sa vie. v.364 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Jé viens vous montrer l'aise v.420 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
Sotencour... Justement, c'est pour vous qué jé vien. v.434 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
Né vous souvient-il plus dé cet hiver dernier, v.449 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
Si j'ai hanté ni vu ce Gascon de ma vie. v.500 (Acte 1, scène 15, SOTENCOUR)
Mais pourquoi viendrait-il... v.501 (Acte 1, scène 15, GÉRONTE)
Monsieur, je viens vous dire v.519 (Acte 1, scène 17, MERLIN)
Je viens de la quitter à l'instant dans la rue. v.536 (Acte 1, scène 18, GILLETTE)
Je viens ici vous dire, en parlant à vous-même, v.551 (Acte 1, scène 19, VALÈRE)

ARLEQUIN, HOMME Ã€ BONNES FORTUNES. (1690)

À l'égard de celles qui me viennent par les présents que l'on m'envoie de toutes parts, passe ; mais pour celles que nous faisons en volant des montres, en enfonçant des boutiques, et en coupant des bourses ; ma foi, j'ai peur que toutes ces bonnes fortunes-là ne nous fassent faire notre mauvaise fortune à la Grève. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
Est-ce que l'on m'entend plaindre des envies que cause I'état de fille ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Les soins des domestiques, l'incommodité d'une grossesse : non, quand il n'y aurait que la peur d'avoir des enfants, je renoncerais au mariage pour toute ma vie. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Je lui dis que j'étais encore bien petite pour cela ; mais que l'année qui vient, j'espérais d'être plus grande. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Viens çà, Pierrot ; toi qui es un homme d'esprit, et qui sais le monde, n'est-il pas du dernier bourgeois de marier plus d'une fille dans une maison, et ne devrais-je pas déjà l'être ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Mon pauvre Pierrot, toi qui es si joli, est-ce qu'il faut que je demeure toute ma vie fille ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Je conviens, Pierrot, que je suis encore petite ; mais si tu savais ce que j'ai déjà (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Il vous viendra voir ; songez à le recevoir comme un homme qui doit être votre mari. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
Voilà ma soeur qui a si envie d'être mariée ; que ne lui donnez-vous monsieur Bassinet pour mari ? (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Vous ne pouviez jamais mieux vous adresser qu'à moi. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Mais j'ai la précaution, quand je vais en femme, de me rincer la bouche avec trois ou quatre pintes d'eau-de-vie. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Les gens que je vois n'assaisonnent pas leurs douceurs de tabac et d'eau-de-vie. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Qui ne sait que le trop parler vient du défaut de jugement ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Que le défaut de jugement vient du manque de raison et que le manque de raison est le caractère de la bête ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
Si vous voulez donc que je vous donne mes avis, expliquez-moi le sujet dont il s'agit ; mais surtout d'un style vif, serré, pressé, concis, laconique, car vous savez que la vie de l'homme est courte : ars longa, vita brevis. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Le temps est cher ; on en perd tant à boire, à manger, à dormir, à s'habiller, à danser, à rire, à chanter ; et l'on ne songe pas que la santé revient après la maladie, le printemps après l'hiver, la paix après la guerre, le beau temps après la pluie ; mais que le temps passé ne revient jamais. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
Entre le procureur et l'assassin ? C'est que l'un enlève les biens, l'autre la vie. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
C'est un vieux fou qui radote ; et je le lui ai dit, da ! (Acte 3, scène 2, PIERROT)
Je vais lui apprendre des nouvelles d'Isabelle, et je lui en ferai, parbleu, passer l'envie. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Vous ne vous trompez pas, monsieur ; je suis un nourrisson d'Hippocrate : mais je ne viens pas ici pour tâter le pouls à Isabelle ; j'ai bien d'autres prétentions sur... (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
Je viens ici pour l'épouser. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
Et avec tous ces beaux talents-là, d'où vient qu'elle n'est pas mariée ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
Ce que je viens de vous dire là, au moins, ne doit point vous empêcher de conclure l'affaire. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Votre fille n'est point le fait de ce vieux rhumatisme-là. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
J'ai ma soeur qui est bien plus jolie que moi ; et si vous aviez vu ma cousine Gogo, c'est tout autre chose. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Viennent souvent pondre en nos nids ; v.45 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Je m'en doutais bien, car j'ai eu envie de faire une selle en le voyant. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
Allez, vieux radoteur, aux Petites-Maisons, avec votre chienlit. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-BASSINET)

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LES VENDANGES (1731)

Pour cela, tout exprès ils viennent de Paris : v.6 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Vous deviendrez bien riche avecque ces dépenses ! v.14 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
M'envoie, et je reviens. Quoi qu'il puisse arriver, v.99 (Acte 1, scène 6, GRIFONET)
Eh quoi ! Mort de ma vie ! Est-ce un crime d'avoir v.108 (Acte 1, scène 7, TOINON)
La France deviendrait un pays bien désert. v.111 (Acte 1, scène 7, TOINON)
Pendant que Griffonet... Mais on vient nous troubler. v.147 (Acte 1, scène 8, TOINON)
L'ami pour qui je viens ici vous consulter v.180 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
Je conviens avec vous de ma témérité, v.191 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
Et je viens à mon fait. v.251 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
Ils viennent, que je crois, de faire un mauvais coup v.263 (Acte 1, scène 13, TOINON)

DÉMOCRITE (1700)

Thaler vient. Le manant, pour notre subsistance, v.21 (Acte 1, scène 1, STRABON)
C'est un homme bizarre, ennemi de la vie, v.45 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Me voir comme un fantôme ; et, quand tu reviendras, v.47 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Mais vous, qui près de lui passez ainsi la vie, v.73 (Acte 1, scène 2, THALER)
Tu deviendrais savant ; tu saurais, comme moi, v.100 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Que rien ne vient de rien ; et que des particules... v.101 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Juste ciel ! D'où te vient ce bijou plein de feu ? v.123 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Mais Démocrite vient. Motus, il faut se taire. v.126 (Acte 1, scène 3, THALER)
Elle viendra bientôt, car je vais la chercher. v.148 (Acte 1, scène 3, THALER)
Le corps, ce poids honteux, où l'âme est asservie, v.157 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
T'occupera-t-il seul le reste de ta vie? v.158 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
Sensuel, j'en conviens ; j'aime à manger pour vivre : v.174 (Acte 1, scène 4, STRABON)
De manger à présent je ne sens nulle envie ; v.326 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
Vous viendrez avec nous. v.332 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
Si, pour philosopher, je reviens parmi vous, v.380 (Acte 1, scène 8, STRABON)
Je le chasse, il revient ; et je ne sais pourquoi, v.407 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
Et que son successeur deviendrait votre époux. v.419 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
Je sais depuis longtemps ce que tu viens de dire ; v.437 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
Et vient justifier le trouble de mon coeur. v.440 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
Et quand même en ces lieux il viendrait à paraître, v.481 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
Et reviendrai pour voir cet homme qu'on admire. v.502 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
Si quelqu'un vient encor se gausser davantage, v.513 (Acte 2, scène 3, THALER)
D'où te vient, mon enfant, l'humeur où te voilà ? v.515 (Acte 2, scène 3, STRABON)
J'y serais volontiers tout le temps de ma vie. v.538 (Acte 2, scène 3, THALER)
Paix, Démocrite vient : v.551 (Acte 2, scène 3, STRABON)
Et je viens vous offrir mes soins et mon savoir. v.567 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
D'où vous vient, s'il vous plaît, cette sombre tristesse ? v.682 (Acte 2, scène 5, STRABON)
C'est par l'ordre du roi que j'y viens aujourd'hui ; v.723 (Acte 2, scène 7, STRABON)
J'aurais avec plaisir passé toute ma vie ! v.778 (Acte 2, scène 7, STRABON)
Ne paraissent plus rien, et deviennent si laids v.894 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
Conviendrait beaucoup mieux à ma simplicité : v.926 (Acte 3, scène 4, CRISÉIS)
Je ne répondrais pas mieux qu'elle vient de faire. v.932 (Acte 3, scène 4, STRABON)
Où l'envie a choisi sa demeure ordinaire, v.935 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
Chacun ne parvient pas à cet état heureux. v.961 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
Il vient de m'ordonner de disposer votre âme, v.999 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
Vous n'aviez pas besoin tantôt de nos leçons ; v.1029 (Acte 3, scène 5, STRABON)
Vous m'aviez tant promis qu'aucun homme, en votre âme, v.1035 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
L'esprit qui nous convient ; rions sur nouveaux frais. v.1042 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
Il n'en est presque point qui, vingt fois en sa vie, v.1047 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
Comme aux filles l'esprit vient vite en ce pays. v.1066 (Acte 3, scène 6, STRABON)
Il n'y sera qu'un sot tout le temps de sa vie : v.1091 (Acte 4, scène 1, THALER)
J'obéis de grand coeur : j'aurai toute ma vie v.1151 (Acte 4, scène 2, CRISÉIS)
Mais on vient. Finissons un discours si fantasque ; v.1207 (Acte 4, scène 4, DÉMOCRITE)
Vous qui dans les forêts avez passé la vie, v.1211 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
Si vous saviez l'intérêt que j'y prends, v.1237 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Hé ! Vous voilà, princesse, infante de ma vie ! v.1280 (Acte 4, scène 6, STRABON)
J'ai près du sexe, enfin, l'air de la vieille Cour. v.1306 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Un vieux singe en malice, insolente, revêche, v.1365 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Aviez-vous épousé ce chef-d'oeuvre des cieux ? v.1372 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Mon bijou ne vient point. Voyez-vous ! Ces gens-ci v.1420 (Acte 5, scène 2, THALER)
Vous ne savez pas ce qu'on me vient de faire ? v.1422 (Acte 5, scène 2, THALER)
Pour cela, tout exprès, je viens ici l'attendre, v.1434 (Acte 5, scène 2, THALER)
J'y viens d'en trouver un... Mais qui peut t'y déplaire ? v.1437 (Acte 5, scène 2, STRABON)
Ah ! La voilà qui vient ; c'est elle, je la vois. v.1471 (Acte 5, scène 3, STRABON)
Par les soins que j'ai pris, on vient de me le rendre, v.1555 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
Des traits de feu qu'on voit... Mais d'où vient ce rubis ? v.1558 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
L'amour m'avait forcé, pour traverser ma vie, v.1615 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)

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LES FOLIES AMOUREUSES (1696)

On vient ici dans l'espérance v.5 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Qui ne lui convient nullement. v.39 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Votre discours devient lassant ; v.87 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Je deviens vive, et je suis pétulante. v.120 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais d'où vient son entêtement ? v.125 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Pour attraper un vieux amant ? v.148 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Dans le moment vient d'arriver ici v.169 (Prologue, scène 4, MONSIEUR-DUBOCAGE)
Je viens donc à Paris pour y lever boutique, v.238 (Prologue, scène 5, MOMUS)
Comment donc ! Merci de ma vie ! v.244 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Un marquis éventé, qui vient avec fracas, v.293 (Prologue, scène 5, MOMUS)
C'est beaucoup, dans un temps où chacun, dans sa vie, v.350 (Prologue, scène 6, MOMUS)
Vous n'avez pas envie, à ce qu'on peut comprendre, v.369 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Vient à nous rencontrer, que dira-t-il de nous ? v.375 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
"Fais ceci, fais cela ; va, viens ; monte, descends ; v.388 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Il n'a ri de sa vie ; il est jaloux, fâcheux, v.395 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Bon ! Votre vieux Cerbère est à la découverte ; v.422 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Mais paix ; j'entends du bruit ; quelqu'un vient ; écoutons. v.428 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
De dormir ce matin n'ayant aucune envie, v.453 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
Un vieux forçat qui rompt sa chaîne après trente ans ; v.516 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
De sortir de chez moi tu peux être ravie ? v.521 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
C'est le plus grand plaisir que j'aurai de ma vie. v.522 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Toujours dans le grand monde elle a passé sa vie : v.542 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Oui, monsieur. Tout le temps de ma vie, v.653 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Le vieillard me paraît un peu sujet à l'ire : v.706 (Acte 2, scène 6, CRISPIN)
Vous pouviez m'épargner le travail du chemin. v.716 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
Vous souvient-il, monsieur, quand ma maudite mule v.718 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
Nous en viendrons à bout, quoi qu'il dise et qu'il fasse ; v.726 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
Albert, ce vieux jaloux, que l'enfer confondra, v.743 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
Tu reviens de la guerre. v.754 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
Il faut changer de lieu quelquefois dans la vie : v.801 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
On me vient tous les jours proposer des partis v.828 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Vous ne deviez pas faire un tel aveu si haut. v.839 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
Elle n'a pas seize ans, et vous êtes fort vieux ; v.851 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Je viens y respirer un air délicieux. v.876 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
De pouvoir, de cent ans, attenter à ma vie. v.886 (Acte 3, scène 3, CRISPIN)
Puisque de babiller vous avez tant d'envie, v.902 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
Céder à ce penchant, et qu'il faut, dans la vie, v.977 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Je vous suis obligé ; je m'en souviendrai bien. v.984 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
Vient de devenir folle, et tout subitement. v.996 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
Un vieux vilain matou v.1026 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
La garde, le malade, un vieil apothicaire v.1057 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Pourquoi donc, ignorant, viens-tu, ne sachant rien, v.1092 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Tu n'es et ne seras qu'un sot toute ta vie. v.1101 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Il me vient un dessein... tu connais bien Clitandre ? v.1141 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
Je reviens sur mes pas pour chercher du remède. v.1150 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
En nul lieu, de ma vie, v.1161 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
Mais aussi soyez sûr que mon bien et ma vie... v.1173 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
Je vais, je viens, je cours ; tout accroît mon tourment. v.1204 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Je la trouve charmante ; et, malgré sa vieillesse, v.1245 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
Je sirote mon vin, quel qu'il soit, vieux, nouveau ; v.1251 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Vienne la Saint-Martin. v.1257 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Je ne me souviens pas d'avoir presque été fille. v.1273 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Il me souvient que vous avez tantôt v.1299 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Je reviens sur mes pas en habit plus décent, v.1311 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Votre homme ne vient point, et je m'impatiente. v.1322 (Acte 3, scène 6, ALBERT)
Mais je le vois qui vient ; n'ayez plus de souci. v.1324 (Acte 3, scène 6, ERASTE)
Va, si de belle peur le vieillard ne trépasse, v.1381 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
Et lorsque dans ces lieux Agathe reviendra, v.1387 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
Amuse le vieillard du mieux qu'il se pourra, v.1388 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
Je te trouve à propos, et viens te dire adieu. v.1404 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Son mal, à mon avis, ne provient d'autre chose v.1450 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Quelle sombre vapeur vient obscurcir ces lieux ! v.1484 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
Quel calme en mon esprit vient succéder au trouble ! v.1485 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Je reviens tout-à-l'heure. v.1505 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
Je mets entre vos mains et mon sort et ma vie. v.1509 (Acte 3, scène 11, AGATHE)
Ah ! Maudite bouteille, et vieillard trop crédule ! v.1522 (Acte 3, scène 12, ALBERT)

LA COQUETTE, OU L'ACADÃ‰MIE DES DAMES. (1691)

Je fais deux pas dans la rue, un fiacre me couvre de boue depuis les pieds jusqu'à la tête ; un porteur de chaise me donne d'un de ses bâtons dans le dos : il vient un homme me saluer ; je lui ôte mon chapeau, un coquin par derrière m'arrache ma perruque ; et, pour comble de friponneries, on veut me faire payer l'entrée à la porte comme bête à cornes, parce que je viens pour me marier... (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
D'où vient, petit garçon, qu'il faut vous appeler tant de fois ? (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
Il est venu aussi cette grande femme qui a le visage si creux, qui vous viendra voir tantôt, quand elle aura été chez son libraire. (Acte 1, scène 4, PIERROT)
Mais les hommes sont des pestes de poissons rusés qui viennent badiner autour de l'appât, et qui mordent rarement à l'hameçon. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Leur répugnance pour le mariage vient de la simplicité des filles qui ne savent pas jouer leur rôle. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Ta mère t'attend : va, va, elle est la maîtresse, elle attendra tant qu'elle voudra : demeure ici ; tu en apprendras plus avec moi en un quart_d_heure, que tu ne feras en toute ta vie avec ta mère. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Malgré la rigueur de votre père, je viens vous assurer, mademoiselle, que je perdrai plutôt la vie que l'espérance d'être un jour votre époux. (Acte 1, scène 8, OCTAVE)
Mezzetin, prenez bien garde que mon père ne vienne. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
Merci de ma vie ! (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
J'attends aujourd'hui un gendre qui me vient du Bas-Maine ; je veux envoyer savoir s'il est venu. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
J'attends le bailli de Laval, qui vient pour être mon gendre. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
Monsieur, n'en faites rien ; il ne vient que des chapons de ce pays-là. (Acte 1, scène 11, PIERROT)
En vérité, je suis ravie d'avoir fait une pareille conquête. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
En vérité, monsieur Nigaudin, j'ai lieu de louer votre diligence : nous ne devons partir pour la Comédie que dans deux heures, et je suis ravie de pouvoir pendant ce temps-là profiter de votre conversation. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
Pour moi, je ne conçois pas bien la manie de la plupart des femmes d'aujourd'hui ; on ne saurait leur plaire, si l'on ne revient de Flandre ou d'Allemagne, et si l'on ne rapporte à leurs pieds un coeur tout persillé de poudre à canon. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
J'y viendrais plus souvent : mais tout le genre humain y aborde. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Et puis les affaires viennent sans qu'on y pense ; on a tous les jours, malgré soi, des procès ; et vous savez qu'auprès d'un juge sensible, l'enjouement d'une jolie femme est toujours la meilleure pièce d'un sac. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
Monsieur, je viens de chez votre notaire ; il vous prie bien fort de l'excuser ; il ne saurait venir aujourd'hui. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Il faut prendre patience, pourvu qu'il vienne demain. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
Tu as raison ; je ne crois pas qu'il revienne de longtemps. C'est bien dommage ; c'était le seul honnête homme de notaire que j'aie encore trouvé. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
Il l'a ; ce n'est que de l'eau-de-vie que je porte à une femme de qualité qui est en couche. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Pierrot, dis à Colombine qu'elle vienne saluer monsieur. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
Oui, monsieur, tous les jours ; il y a tout plein d'honnête monde qui la vient prendre pour la divertir. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
Ne vous avais-je pas bien dit qu'elle viendrait souper avec vous ? (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Et, s'il vous plaît, quand une femme revient du bal à cinq heures du matin avec un cavalier, qu'elle éveille toute la maison, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
J'ai une grâce à vous demander : les filles, comme vous savez, ont beaucoup d'ambition sur le fait du mariage ; j'ai eu toute ma vie une noble horreur pour les baillis du Maine ; ne pourriez-vous point changer de charge, et vous faire homme de qualité ? (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Je n'en ai que faire : quand on a été toute sa vie élevé dans le Bas-Maine, les airs de cour ne sont que trop familiers. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Vous êtes plus vieux que moi, j'en conviens ; mais je me connais mieux en maris que vous. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
Viens, ma fille, que je t'embrasse. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
Je ne le verrai de ma vie ; c'est un homme que je ne puis souffrir. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
Je te donne ma malédiction, et tu mourras vieille fille. (Acte 2, scène 8, TRAFIQUET)
Tu ne fais plus que quatre repas par jour ; tu ne saurais plus t'éveiller qu'à midi sonné : tu vois bien qu'en cet état-là tu ne peux pas faire longue vie. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
Il y a mille ans que j'ai envie de vous venir voir, et de profiter de l'honneur de votre voisinage. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
Je suis ravie, mesdames, d'avoir un voisinage aussi agréable que le vôtre. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
Vous ne deviez jamais lâcher le mot de bailli. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
Elle sert un mari, soulage sa vieillesse : v.72 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
Devient des animaux le plus vindicatif. v.90 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Que demain, au plus tard, vous n'êtes pas en vie. v.160 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
Il est vrai que j'ai le domestique du monde le plus brutal : qu'une femme de qualité me vienne voir, on ne m'en dit rien ; qu'une procureuse frappe à ma porte, on vient m'en faire la honte en pleine compagnie. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
Si j'avais l'avantage de vous voir souvent, je crois que je deviendrais une habile fille. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
Ni cela ; c'est la vie de Thémistocle, en vers burlesques. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
À vous sincèrement, pour un marquis de nouvelle impression, vous ne jouez pas mal votre rôle, et l'on croirait que vous l'auriez étudié toute votre vie. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Il est vrai que le parterre devient terriblement orgueilleux : ce sont ces Italiens qui ont achevé de le gâter. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Hé bien, viens les faire chez moi. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Quand on a de cette besogne-là toute taillée chez soi, on n'a guère envie d'aller travailler en ville. (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)

LE DISTRAIT (1697)

D'accord. Lisette ! Holà ! Lisette ! De la vie v.77 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
On ne vit dans Paris femme si mal servie. v.78 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Son maître tous les jours vient pourtant l'exercer : v.104 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
M'enleva malgré moi ; sans cela, de ma vie, v.133 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
De me donner un maître il ne m'eût pris envie. v.134 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Homme de qualité, qui revient de la guerre ; v.162 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Et je vous défends, moi, de le voir de la vie. v.185 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Je ne veux de ma vie oublier celui-là. v.220 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Vient d'arriver en poste ici couvert de crotte : v.225 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
De tout ce que je vois tous les jours dans la vie. v.250 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Cette vieille qui va marchander des galants, v.251 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Moi, votre train de vie v.281 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Cette vie innocente est-elle condamnée ? v.305 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Notre espoir dans le port vient de faire naufrage. v.402 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Passât de cette vie en une autre meilleure ; v.406 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Écoute la noirceur de ce maudit vieillard. v.415 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Le vieillard, par malice, v.422 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
J'y cours, et je reviens, Monsieur, à l'heure même. v.506 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
Je ressens de la voir la plus ardente envie... v.534 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
Que pour quelque autre objet je devienne sensible. v.599 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
Provient de votre esprit plus que de votre coeur. v.609 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
Il aime fort mon frère, et toute son envie v.614 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
Je t'en sais fort bon gré. Viens-tu par inventaire, v.622 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
Ses écus, ses louis étaient-ils neufs ou vieux ? v.637 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
L'air vient fort au sujet. v.641 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
Va chez mon horloger, et reviens au plus tôt. v.712 (Acte 2, scène 9, LEANDRE)
On m'a toujours bien dit qu'il fallait dans la vie v.738 (Acte 2, scène 12, CARLIN)
Vient d'un autre ou de lui. C'est cette nonchalance v.783 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Il faudrait étayer comme un vieux bâtiment, v.825 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Et mort non de ma vie ! Une bonne escabelle ; v.827 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Ne vous y jouez pas. Il me vient dans la tête v.847 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Elle approche, elle vient. ô ciel ! v.852 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Qui vient montrer sa langue. v.858 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Qui veut toute sa vie adorer vos appas. v.872 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
Il est vrai, j'en conviens ; v.905 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
Léandre vient ; il faut nous ranger du passage. v.933 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
D'où viens-tu ? Parle donc, réponds-moi. v.938 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
Va vite, cours, reviens. v.960 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
J'obéis, et reviens sur mes pas. v.963 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
Sans ce fâcheux dédit qui vient troubler ma joie, v.993 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
C'est Madame Grognac qui revient sur ses pas. v.1025 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
Malgré votre dédit, je viens ici vous dire v.1054 (Acte 3, scène 12, CLARICE)
Pour lui faire réponse, et reviens au plus tôt. v.1065 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
Apprenne maintenant à vivre à la vieillesse, v.1139 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
Et je viens vous chercher ici pour vous apprendre v.1178 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
Ne vous souvient-il plus du maître italien, v.1196 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
Et vous deviez encor lui mieux laver la tête. v.1286 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
Pour un plaisant qui vient de son bruit m'enivrer, v.1332 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
Je vais, je cours, je vole, et je reviens à vous. v.1353 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
Des plumes que je prends vient empêcher l'effet. v.1373 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
Si vous vous en serviez... v.1400 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
Tu deviens insolent. v.1419 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
Viens çà, maraud ; réponds, parle. v.1507 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
Mais il vient ; vous pouvez l'étrangler : le voilà. v.1514 (Acte 5, scène 6, CARLIN)
Je le vois. Viens çà, traître ; aux dépens de ta vie v.1527 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
Si je me ressouviens de l'avoir entendu. v.1542 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
Viens, tête sans cervelle, v.1547 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
« Oui, belle Clarice, je n'adore que vous, et fais tout mon bonheur de vous aimer le reste de ma vie. » (Acte 5, scène 7, CLARICE)
Avec empressement, Monsieur, je viens vous dire v.1584 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
Il me vient dans l'esprit un petit stratagème. v.1592 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
La vieille ne songeait, dans votre engagement, v.1593 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
Place, place au courrier qui vient à toute bride. v.1632 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
À grand'peine au bonhomme aviez-vous dit adieu, v.1645 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
Votre hymen à présent ne me convient en rien : v.1661 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
Qu'il deviendra plus sage, et que vous le signiez. v.1674 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)

LE RETOUR IMPRÃ‰VU (1700)

C'est le dérèglement de vos actions qui me fait parler ; et il n'y a rien de plus horrible que la vie que vous faites. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
Quelle vie faisons-nous, s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Fort innocemment : elle boit, mange, chante, rit, joue, se promène ; les biens nous viennent en dormant, je vous assure. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Qui est cette vieille madame avec qui tu étais en conversation ? (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Il y aura peut-être quelque tribulation à essuyer au retour de notre bon homme de père : mais il ne reviendra pas si tôt ; nous aurons le temps de nous préparer ; et mon maître ne sera pas malheureux, s'il n'a que ce chagrin-là de son mariage. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Trois garçons de la Guerbois viennent d'arriver avec tout leur attirail de cuisine ; Camel, le fameux Camel, marchait à leur tête. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Monsieur votre père fera un gros profit pendant son voyage ; vous aurez fait une grosse dépense pendant son absence : quand il reviendra, de quoi aura-t-il à se plaindre ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Entre nous, ce n'est pas un grand génie que monsieur votre père ; je l'ai mené autrefois par le nez, comme vous savez ; je lui fais accroire ce que je veux : et quand il reviendrait présentement, je me sens encore assez de vigueur pour vous tirer des affaires les plus épineuses. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Allons, monsieur, grande chère et bon feu ; le courage me revient. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Je me donne au diable, pendant que nous sommes en train, il me prend envie d'épouser Lisette aussi par compagnie, moi ; c'est une chose bien contagieuse que l'exemple. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Mais voici votre Marquis qui vient au rendez-vous. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Vous m'attendez, c'est bien fait : je suis l'âme de vos parties, j'en conviens ; le premier mobile de vos plaisirs, je le sais. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Le maudit vieillard ! (Acte 1, scène 9, MERLIN)
Revenir si mal à propos, et ne pas avertir qu'il revient, encore ! (Acte 1, scène 9, MERLIN)
Allons, Merlin, de la vivacité, mon enfant, de la présence d'esprit, Ceci est violent : un père qui revient en impromptu d'un long voyage ; un fils dans la débauche, sa maison en désordre, pleine de cuisiniers ; les apprêts d'une noce prochaine ! (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Oui ; mais ils n'en ont guère à ceux qui reviennent si mal à propos. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Vous y deviez bien demeurer, monsieur, pour votre santé,.... (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Oui, justement, Clitandre, un enfant de famille, dont le père est allé je ne sais où, et qui sera bien surpris, à son retour, quand il apprendra la vie que son fils mène pendant son absence. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
Oui, monsieur : il y revient des lutins si lutinants... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Point du tout, monsieur : qu'est-ce qu'il m'en reviendrait ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Vous deviez bien nous en avertir ; vous nous eussiez épargné bien de l'embarras. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Toute en louis vieux. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Oh çà, monsieur, puisque nous savons la cause du mal, il ne sera pas difficile d'y remédier ; je crois que nous en viendrons à bout : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Je m'en vais au-devant de mes hardes, et je reviens sur mes pas, pour voir ce qu'il faut faire en cette occasion. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Qu'il y a de traverses dans la vie ! (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
J'entends monsieur Géronte qui revient sur ses pas : sauve-toi au plus vite. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
Je ne la remets pas bien ; viens-t'en m'y conduire toi-même. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
Allons, viens. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
Hé bien, monsieur, parlez-lui donc ; la voilà qui vient heureusement ; mais souvenez-vous toujours qu'elle est folle. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
On dit qu'il revient des esprits dans ma maison ; il faudra bien qu'ils en délogent, quand ils seront las d'y demeurer. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Il ne se souvient pas que son vaisseau a péri : quelle pitié ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Allez, vous êtes un vieux fou ; un vieux fou, à qui il ne faut point d'autre habitation que les Petites-Maisons ; les Petites-Maisons, mon ami. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Mais voyez cette vieille folle ! (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Hâtez-vous de le faire enfermer : il devient furieux, je vous en avertis. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Vient-on, s'il vous plaît, faire tapage à la porte d'un honnête homme, et scandaliser toute une populace ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
Il nous est revenu que le maître de ce logis vient d'arriver d'un long voyage : serait-ce vous par aventure ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
Nous avons eu bien du chagrin, bien du souci, bien de la tribulation de votre retour ; je veux dire, de votre absence : votre fils en a pensé mourir de douleur, en vérité ; il a pris toutes les choses de la vie en dégoût ; il s'est défait de toutes les vanités qui pouvaient l'attacher à la terre ; richesses, meubles, ajustements. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
J'y viens de boire du bon vin de Champagne, et en fort bonne compagnie. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
N'aviez-vous pas aussi deux grands tableaux qui représentaient quelque chose ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
Vraiment, je viens d'apprendre de jolies choses, monsieur Géronte ; et votre fils, à ce qu'on dit, engage ma nièce dans de belles affaires. (Acte 1, scène 21, MADAME-BERTRAND)

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ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME (1694)

La vie champêtre ne convient point à un intrigant, à un fourbe. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
Il va, il vient, il piétine, il peste contre son infidèle, et a toujours quelque raisonnement d'enfant qu'il veut qu'on écoute ; enfin, c'est un petit obstiné que j'ai été contrainte d'enfermer, afin qu'il me laissât en paix travailler à ses affaires. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Mort de ma vie ! (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Donc, je dirai à Agathe : N'est-y pas vrai, quand j'eu entr'ouvart votre collet, que je pris dessous un papier dans votre sein, et que sur ce papier vous m'aviez fagoté en lacs d'amour votre nom parmi le mien, pour montrer ce que je devions être l'un à l'autre ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
Il faut empêcher Agathe de sortir de chez elle, afin qu'elle ne vienne point rompre les mesures que nous avons prises. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
La voici qui vient ; songe à la renvoyer chez elle. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Si vous vouliez m'écouter une fois en votre vie, je vous ferais voir que Dorante... (Acte 1, scène 6, LISETTE)
On vient à bout de tout en ce monde, quand on sait prendre chacun par son faible ; les hommes par les femmes, les femmes par les habits. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Voilà mon maître qui vient. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
Amuse-le pendant que je me déguiserai ; et après, tu iras avertir Agathe qu'elle vienne nous surprendre ; tu la feras écouter notre conversation. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
La veuve est venue ce matin de Poitiers pour vos beaux yeux ; et depuis que vous m'avez quitté, on vient de m'offrir de sa part cent pistoles, si je puis livrer votre coeur. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Si vous pouviez vous souvenir de cette mine que vous fîtes l'autre jour à la comédie, là, une certaine mine qui perdit de réputation cette femme à qui vous n'aviez jamais parlé. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
De quel côté vient le vent ? (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
Mais me ferai-je connaître après ce qu'on lui vient de dire de moi ? (Acte 1, scène 14, AGATHE)
Vous m'aviez enlevé mon amant ; mais je suis déjà vengée, puisqu'il vous a sacrifiée à moi. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
Je ne suis fâchée que de ce qu'il vous vient de dire des faussetés de moi. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
Pasquin me vient de dire que tout allait bien, pourvu que je patientisse ; mais, quand je devrais tout gâter, je ne saurais plus me tenir en place ; je sis trop amoureux. (Acte 1, scène 15, COLIN)
Peut-être elle viendra. v.57 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
Je viendrai saccager ce village-ci avec un régiment que j'achèterai exprès. (Acte 1, scène 24, DORANTE)

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LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX (1705)

Je viens, charmé de vos talents, v.154 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Je me souviens qu'un de ces jours, v.200 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
D'où viens-tu donc, maraud ? Dis, parle, réponds-moi. v.243 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Je me sens de bien vivre une assez bonne envie. v.268 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Toute folle qu'elle est, vous aviez I'âme atteinte. v.305 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Je vous attends, monsieur, pour vous remettre « comptant les soixante mille écus que votre oncle vous a laissés par testament, et pour épouser mademoiselle Isabelle, dont je vous ai plusieurs fois parlé dans mes lettres : le parti vous convient fort, et son père Démophon souhaite cette affaire avec passion. (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Et que notre bonheur vienne de ma sottise. v.413 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Nous trouvons en un jour un vieil oncle enterré, v.414 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Et qui vient enlever encor votre maîtresse. v.417 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Elle est vieille, et jalouse à désoler les gens ; v.434 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Vous aviez de Vénus et l'habit et la mine : v.476 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
Toujours mal à propos ils viennent vous trouver. v.502 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
Ici, dans un moment, je reviens sur mes pas. v.526 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
Mais quelqu'un vient ici. v.531 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
Il vient de ce côté, je ne me trompe pas ; v.670 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
Oui vraiment me voilà ; mais j'ai cru de ma vie v.676 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
Je viens m'y marier. v.708 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
J'y viens pour prendre aussi soixante mille écus, v.710 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
Qu'elle ne vienne ici gâter ce que j'ai fait. v.734 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
Ah ! Vous voilà, monsieur ! Vraiment j'en suis ravie ! v.737 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
À ce qui vous survient je dois m'intéresser : v.751 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Qui je suis, d'où je viens, où je vais ? v.869 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
Qui viennent comme vous chercher des aventures. v.881 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
Qui se nomme Ménechme, et qui vient de Péronne, v.960 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
Bien triste... et qui pourrait... Mais il était bien vieux. v.978 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
Je dis qu'il était vieux pour son peu de santé ; v.982 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
Point du tout ; et je crois que, dans toute sa vie, v.984 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
D'où vous vient pour l'hymen ce brusque éloignement ? v.1023 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
Il est vrai ; mais enfin l'esprit vient avec l'âge. v.1025 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
Scandaliser ici monsieur, qui, de sa vie, v.1080 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
Ne vous vit, ni connut, et n'en a nulle envie ? v.1081 (Acte 3, scène 5, D?MOPHON)
Je reviendrai sitôt qu?elle sera partie. v.1093 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
Je reviens sur mes pas achever ma visite. v.1097 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
Je viens vous donner le bonjour, v.1115 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
La guerre me ferait d'ailleurs assez d'envie, v.1160 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
Et je viens des premiers vous donner le bonjour. v.1207 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
Sa mémoire est perdue ; il ne se souvient plus, v.1238 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
Vous êtes un vieux fou. v.1258 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Dans peu, pour l'aller voir, je reviendrai vous prendre. v.1285 (Acte 3, scène 12, VALENTIN)
Je reviens en ce lieu, ministre diligent, v.1299 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
En attendant qu'il vienne, v.1308 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Je viens lui demander et lettres et portrait. v.1319 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
Il faut bien, dans la vie, aller selon le temps. v.1343 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Mais quelqu'un vient ici. v.1365 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Et que de se revoir on n'a plus nulle envie, v.1377 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Tu reviendras tantôt, je te ferai tout rendre. v.1432 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
Je reviens, et je mets le feu dans la maison. v.1435 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Excuse si jé viens ici t'importuner ; v.1462 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Il né vous souvient pas qu'allant en Allémagne, v.1472 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Jé né mé souviens pas d'un mot dé tout cela. v.1475 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Viens çà, bélître ; parle ; oseras-tu nier v.1482 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Il m?en vient dans l'esprit quelque confuse idée v.1485 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
Qué jé dévienne atome, ou qu'à l'instant jé meure, v.1500 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Et vous m'aviez fait voir des sentiments d'honneur ; v.1515 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Sont mes meilleurs amis, et viennent me surprendre. v.1525 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
Il faudra qu'il décampe, ou qu'il devienne fou ; v.1535 (Acte 4, scène 7, VALENTIN)
Quelle aubaine ! Le bien vous vient de toutes parts. v.1546 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
Votre frère pour vous vient encor d'être pris. v.1558 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
La chose, j'en conviens, ne paraît pas trop claire : v.1612 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
Impunément viendra nous plaire et nous surprendre ; v.1669 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
Et rester vieille fille est un mal plus affreux v.1686 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
Et je viens vous prier de m'y vouloir conduire, v.1720 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
Me vient de ma santé demander des nouvelles ; v.1725 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
Tout ce qui vous convient est toujours le meilleur. v.1795 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
Puisque chacun ici prend ce qui lui convient, v.1898 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
C'est lui qui, pour un legs, vient d'arriver ici : v.1906 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
À ne t'en point mentir, j'en aurais grande envie ; v.1952 (Acte 5, scène 6, FINETTE)

LA CRITIQUE DE L'HOMME Ã€ BONNES FORTUNES. (1690)

Hé bien, Claudine, parviendrons-nous à souper ? (Acte 1, scène 2, NIVELET)
L'auberge est tous les soirs en déroute, et nos messieurs ne reviennent plus qu'à neuf heures. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
Je crois qu'il ne me reste de vie que pour faire mon testament. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
D'où vient donc tout ce délabrement-là ? (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
J'y ai été ; et vous voyez comme j'en reviens. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Quelle grossièreté, d´aller mettre le derrière d'un vieillard sur la scène ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Que Monsieur Bonaventure vient à propos ! (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
Or, il y a là-dedans un garçon qu'on appelle Pierrot ; et puis il survient un Vicomte avec un singe, qui est le plus beau rôle de la pièce. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)

LA CRITIQUE DU LÃ‰GATAIRE (1708)

Sitôt que votre carrosse sera devant la porte, on viendra vous avertir ; mais vous en avez encore pour un quart_d_heure tout au moins. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Je prétends bien qu'il vienne au bal avec moi. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Nous avons un peu lu notre Poétique d'Aristote ; et nous savons la différence de l'épopée avec le poème dramatique, qui vient du grec ???à ?ò ??ã?, id est, agere. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
Que je serais ravie de savoir du grec ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
C'est un gouffre de science. Mon_Dieu, que j'aurais envie de l'embrasser ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Mais enfin, vous conviendrez que la pièce est... (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Mais je perds ici bien du temps. Mon cher Monsieur Boniface, voyez, je vous prie, si mon carrosse n'est point à la porte : de moment en moment je sens que je m'exténue ; je fonds, je péris, je deviens nulle. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Dans un moment, madame, je viens vous rendre réponse. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
Oui : l'on dit que c'est vous qui recrépissez toutes les vieilles du quartier. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
Je suis jeune encore, comme vous voyez ; mais quand j'ai bu du vin de Champagne, j'ai le lendemain le coloris obscur, les nuances brouillées, et des erreurs au teint, qui me vieillissent de dix années. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
Et vous aurez pour vous, malgré les envieux, v.1 (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
Cela vaut mieux que l'autre ; et je vous jure que l'on ne la jouera point que je n'y revienne. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)

LE LÉGATAIRE UNIVERSEL (1704)

Un remède par moi lui vient d'être donné, v.15 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
J'ai cru que ce serait le dernier de sa vie ; v.17 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
C'est le plus ladre vert qu'on ait vu de la vie. v.29 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Je conviens avec lui qu'il a toujours raison. v.124 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Il faut que le vieillard soit mal dans ses affaires, v.125 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Monsieur Géronte vient, il faut changer de ton. v.164 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Et je viens d'essuyer un dangereux assaut : v.178 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Vous faire désormais un régime de vie, v.184 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
Je reviendrais, je crois, exprès de l'autre monde. v.228 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Tu conviens que le ciel a versé dans son âme v.247 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Quoi ! Vous, vieux et cassé, fiévreux, épileptique, v.259 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Mais quelqu'un vient ici. v.284 (Acte 1, scène 5, GÉRONTE)
Si des yeux aussi beaux ne me rendaient la vie. v.300 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Que mon sort est heureux ! Qu'il est digne d'envie ! v.432 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
Qu'il est un peu trop vieux pour en faire son gendre. v.448 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
Et que deviendrait donc enfin le testament v.450 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Depuis notre entrevue, monsieur, j'ai fait réflexion sur le mariage proposé, et je trouve qu'il ne convient ni à l'un ni à l'autre ; ainsi vous trouverez bon, s'il vous plaît, qu'en vous rendant votre parole, je retire la mienne, et que je sois votre très humble et très obéissante servante, (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Qui jadis dans le Maine épousa, quoique vieux, v.541 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
Je vais l'expédier, et reviens à l'instant. v.562 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
Il est vrai : mon neveu viendra m'accompagner ; v.566 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
J'en suis bien assuré. Viens, Éraste ; suis-moi. v.569 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
Ah ! Te voilà, Crispin ! Et d'où diantre viens-tu ? v.573 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Qu'ils viendraient à Paris pour lui rendre visite. v.628 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Mais on vient. v.654 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Et de notre entretien je reviens vous instruire. v.676 (Acte 2, scène 9, ÉRASTE)
Vous avez fait, monsieur, ce que vous deviez faire. v.679 (Acte 2, scène 10, LISETTE)
Je viens, vraiment, d'apprendre une belle nouvelle, v.687 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Comment donc ! Dans la vie, v.695 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
« Tout vieillard qui prend fille alerte et trop fringante, v.711 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Je le verrais crever comme un vieux mousqueton. v.750 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Il ne reviendra plus ; son départ me chagrine. v.760 (Acte 2, scène 12, GÉRONTE)
Éraste ne vient point me rendre de réponse. v.775 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
Vient-on chez un malade ainsi rendre visite ? v.792 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Je suis votre neveu, quoi qu'en dise l'envie ; v.831 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
En repos laissez-moi finir ma triste vie, v.876 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
D'accord. Mais quand viendra ce jour ? v.878 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Mais Éraste revient, et nous allons apprendre v.911 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Il vient de m'accoster là-bas tout hors d'haleine, v.915 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
Il convient à monsieur de suivre cette envie, v.951 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Non à vous, qui devez renoncer à la vie. v.952 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
A la vie ! Et pourquoi ? Suis-je mort, s'il vous plaît ? v.953 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
Qui porte le grand deuil, vient vous rendre visite, v.964 (Acte 3, scène 5, LE LAQUAIS)
Vous meniez une vie indigne et criminelle, v.1044 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Et que vous en aviez déjà plusieurs enfants. v.1045 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Nous savons votre vie avecque cette fille, v.1056 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Sortez d'ici, madame, et que de votre vie v.1059 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
Remettre le pied il ne vous prenne envie ; v.1060 (Acte 3, scène 8, G?RONTE)
Si l'on vient chez les gens ainsi leur faire insulte. v.1076 (Acte 3, scène 8, ÉRASTE)
Ouf ! Ce jour-ci sera le dernier de ma vie. v.1079 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
Si vous m'aviez vu tantôt faire merveille, v.1095 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
Ne désespérons point encore de sa vie ; v.1123 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
Et vous aurez pour vous, malgré les envieux, v.1153 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Pour marquer au vieillard sa dernière demeure, v.1191 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Les Notaires, monsieur, viennent là-bas d'entrer ; v.1214 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
Attendez... Il me vient... Le dessein est bizarre ; v.1231 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
Paix... Silence... Il me vient un surcroît de pensée. v.1248 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
Et je cours te servir. Je reviens sur mes pas. v.1261 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
Si ton dessein succède au gré de notre envie, v.1263 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
Je veux te rendre heureux le reste de ta vie. v.1264 (Acte 4, scène 3, ?RASTE)
Si la Justice vient à connaître du fait, v.1269 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
Je veux te mettre encor ce vieux manteau fourré, v.1297 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
Jamais d'un testateur n'a raccourci la vie ; v.1324 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
Soit, je ne dirai mot ; cependant, de ma vie, v.1423 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
Je n'aurai de parler une si juste envie. v.1424 (Acte 4, scène 6, ?RASTE)
J'en aurais grande envie ; v.1431 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Laissez-moi, s'il vous plaît, l'acte qu'on vient de faire. v.1440 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Qui reste dans nos mains ; je reviendrai tantôt, v.1442 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
Le laurier dont tu viens de couronner ton front v.1481 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
Offrons-nous aux dangers ; viens signaler ta foi : v.1522 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
Et viens vous rassurer ici par ma présence. v.1532 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
Nous viendrons travailler ensemble au dénouement. v.1598 (Acte 5, scène 2, ÉRASTE)
Si vous saviez, monsieur, ce que nous avons fait, v.1613 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
Ah ! Le pauvre garçon, je crois, n'est plus en vie. v.1620 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
Ils reviendront dans peu. v.1641 (Acte 5, scène 5, LISETTE)
Mais je rends grâce au ciel de prolonger ma vie, v.1647 (Acte 5, scène 6, GÉRONTE)
Pour pouvoir maintenant exécuter l'envie v.1648 (Acte 5, scène 6, G?RONTE)
Si vous aviez pu voir les syncopes, les crises v.1651 (Acte 5, scène 6, LISETTE)
Ne vous souvient-il pas que, pour certaine affaire, v.1699 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
Je ne m'en souviens point. v.1704 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Ne vous souvient-il pas, monsieur, bien nettement, v.1705 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Ou quelque bonne rente au moins pendant ma vie ? v.1711 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Je ne m'en souviens point. v.1712 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Ne vous souvient-il pas que monsieur Clistorel... v.1714 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
Monsieur convient de tout, du tort de sa mémoire, v.1716 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
La, la, consolez-vous ; je suis encore en vie. v.1732 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
S'il m'en souvient d'un mot, je veux bien qu'on me pende. v.1744 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Je ne m'en souviens point. v.1813 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Ne vous alarmez point, je viens pour vous les rendre. v.1819 (Acte 5, scène 8, ISABELLE)
Lisette, sur mon front viens ceindre des lauriers : v.1866 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)

LE DIVORCE (1688)

Nous ne pouvons pas jouer la comédie aujourd'hui ; voilà notre portier qui vient de se trouver mal, et Pantalon, qui devait faire un rôle de Patrocle, est indisposé. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
Et vient pour empêcher que tu rendes l'argent. v.3 (Prologue, scène 2, MERCURE)
Monsieur Jupiter, si vous vouliez me laisser votre monture, je la ferais mettre à la daube : aussi bien les dieux de l'opéra, qui sont bien montés quand ils viennent, s'en retournent toujours à pied. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
Je le sais bien ; j'étais la chambre de madme votre soeur quand son mari, monsieur Sotinet, mon maître et votre beau-frère, la surprit comme elle vous écrivait la dernière lettre que vous avec reçue d'elle, où elle vous mande de venir au plus tôt à Paris, afiun de prendre des mesures avec vous pour se mettre à couvert du chagrin que son vieux mari lui fait tous les jours. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
D'accord ; et c'est à quoi il faudrait songer, si vous aviez de ce qui se touche. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Tu pensa in tanto a quelle vieni di promettermi. (Acte 1, scène 1, AURELIO)
Que je pense de jolis tours pour délivrer ma maîtresse des mains de son vieux mari ! (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Non, dans les médailles ; c'est-à-dire que quand je n'avais rien à faire, pour me désennuyer, je m'amusais à mettre le portrait du roi sur des pièces de cuivre, que je couvrais d'argent, et que je donnais à mes amis pour du pain, du vin, de la viande, et autres choses nécessaires : mais comme il y a toujours des envieux dans le monde (voyez, je vous prie, comme on empoisonne les plus belles actions de la vie !), on fut dire à la justice que je me mêlais de faire de la fausse-monnaie. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Je leur répliquai qu'oui, que je leur demandais excuse si je ne faisais pas aussi bien que je l'aurais souhaité ; mais que j'avais grande envie de travailler, et qu'avec le temps, j'espérais devenir plus habile. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Nous arrivons enfin à la Croix Du Trahoir, au pied de cette fatale colonne qui devait être le non-plus-ultrà de ma vie, et qu'on appelle vulgairement la potence. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Mais d'où vient que tu n'enfonces point tes pieds jusqu'au fond de tes bottes, et que tu marches sur la tige ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Ne savez-vous pas bien qu'un vieux mari est comme ces arbres qui ne portent point de bons fruits, et qui ne servent que d'ombre ? (Acte 1, scène 4, PIERROT)
On m'a dit, monsieur, que vous aviez besoin d'un homme de ma profession ; je viens vous offrir mes services. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Tant, que je n'y saurais suffire. C'est moi qui fais la barbe et les cheveux à tous les limousins qui viennent ici travailler, et j'ai une pension de la ville pour faire tous les quinze jours le crin au cheval de bronze. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Je suis ravi, messieurs, que vous vous trouviez ensemble. (Acte 1, scène 8, ISABELLE)
Un homme comme moi, qui a été toute sa vie nourri de dièses et de bémols, est diablement délicat en musique. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Est-ce que je ne vois pas bien qu'il faut marquer là une dissonance, et que l'octave s'entrechoquant avec l'unisson, vient à former un dièse bémol. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Oui, il y aura des violons, des vielles, et de toutes sortes d'instruments. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Vous devriez mourir de honte de la vie que vous menez. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
Colombine, ne te souviens-tu point de ce petit air que m'apprit hier monsieur le marquis ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Non, madame ; mais, si vous voulez, je vais vous en chanter un que je viens d'apprendre. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
À te dire vrai, Colombine, je suis bien lasse de la vie que je mène. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Je dois aller passer l'après-dînée chez la marquise : viens achever de m'habiller dans mon cabinet. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Je suis ravie, monsieur, de l'honneur que je reçois ; mais je voudrais que ce ne fût pas une suite de votre malheur, et devoir à ma bonne fortune, et non pas à votre mauvaise, la visite que je reçois : mais il faut espérer que vous serez plus heureux. (Acte 2, scène 4, ISABELLE)
Allons, madame, je suis à vous pendant toute l'après-dînée, et pendant toute la nuit, si vous voulez : il en coûtera la vie à trois ou quatre femmes ; mais qu'y faire ? (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
Vous ne serez plus Madame Sotinet, ou j'y perdrai mon latin. Je viens de consulter un avocat de mes amis sur votre affaire. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
Mort non pas de ma vie, madame, c'est vous éterniser, que de faire un coup d'éclat comme celui-là ! (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
Je conviens, avec toi, qu'il y a beaucoup d'honnêtes femmes qui sont lasses de leur métier et de leur mari ; mais, du moins, elles n'en instruisent pas la ville par la bouche d'un avocat, et ne se font point déclarer fieffées coquettes par arrêt de la cour. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Mon pauvre Arlequin, tu viens ici bien à propos. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
Viens çà, sais-tu plaider ? (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
Allons, viens ; suis-moi : je te dirai ce qu'il faut que tu fasses. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
Ne vous mettez pas en peine, madame ; je vous en tirerai. Je ne vous dis pas ce que j'ai envie de faire. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Et d'où vient ? (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
Viendra-t-il bientôt ? (Acte 3, scène 5, SOTINET)
Donnez-vous un peu de patience ; nous n'aurons pas plus tôt démarié la première, qu'elles y viendront toutes les unes après les autres. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
En effet, messieurs, une jeune femme qui épouse un vieillard, dans l'espérance de l'enterrer six mois après, n'est-elle pas en droit de lui demander raison de son retardement ; et n'est-elle pas bien fondée à faire rompre son mariage, puisque son mari n'a pas satisfait à l'article le plus essentiel du contrat, par lequel il s'est obligé tacitement à ne pas passer l'année ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Les jeunes filles qui se vendent à des vieillards achètent en même temps le droit de les envoyer à l'hôpital promptement, par leurs dépenses extravagantes : c'est ce qu'a presque fait la Dame Sotinet ; car enfin le pauvre homme ne fut pas plus tôt marié, qu'il vit bien comme presque tous les autres qui s'enrôlent dans cette milice qu'il avait fait une sottise ; que le mariage est une affaire à laquelle il faut songer toute sa vie ; qu'un bon singe et la meilleure femme sont souvent deux méchants animaux ; et que ce grand philosophe avait bien raison de s'écrier, en voyant trois ou quatre femmes pendues à un arbre : que les hommes seraient heureux, si tous les arbres portaient de semblables fruits ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Non, ce n'est point pour elle que le soleil éclaire, elle méprise cette clarté bourgeoise ; elle ne sort de chez elle qu'avec les oublieurs, et n'y rentre qu'à la faveur des crieurs d'eau-de-vie. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Si je vous parlais des intrigues de la Dame Sotinet, de ses aventures galantes, de ses subtilités pour tromper son mari ; mais... vous rougiriez, illustres et vieilles coquettes de notre temps, de voir qu'une femme de dix-huit ans vous a laissées bien loin après elle dans la carrière de la galanterie et j'apprendrais aux femmes qui m'écoutent de nouveaux tours de souplesse (elles n'en savent déjà que trop). (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Et après cela, messieurs, une femme, qui est le précis, l'élixir, la mère-goutte de la transcendante coquetterie, viendra vous demander une séparation ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Le mois de mars 87, Mathurin-Blaise Sotinet, âgé de soixante-dix ans, sentit un prurit pour la noce, une démangeaison pour le mariage ; cette vieille rosse, refaite et maquignonée, cette mèche sèche et ridée, prit feu aux étincelles des yeux de celle pour qui je parle. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Un homme qui a été toute sa vie dans les aides ne boit que de l'eau ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
N'a-t-il bu que de l'eau, quand il revient chez lui le soir, amenant avec soi des femmes d'une vertu délabrée, et qu'il maltraite celle pour qui je suis de paroles et de coups ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Souffrirez-vous, messieurs, qu'une femme qui (comme dit fort élégamment un savant philosophe) doit être, vas dignitatis, non voluptatis, devienne un grenier à coups de poing ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)

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LE CARNAVAL DE VENISE (1699)

Léandre ne vient point s'offrir à mes regards. v.97 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
Je viens donner quelques moments v.111 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Il vient ; pénétrons dans son âme v.141 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
Ciel ! Que viens-je d'entendre ? Et que ma peine est rude v.163 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
Indarno vien a consolar me : v.194 (Acte 2, scène 5, UN-ESCLAVON)
Tout vient, jeunes coeurs, flatter vos désirs ; v.230 (Acte 2, scène 5, UN-ARMÉNIEN)
De ce tendre discours que mon âme est ravie ! v.255 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
Y font mourir l'amour qui leur donna la vie. v.286 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
Viens verser sur cette beauté v.367 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
Cher Léandre, je viens, conduite par l'amour, v.409 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
Deviez-vous armer ma fureur ? v.496 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
Vient montrer sa réjouissance. v.513 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
Que quelque orage à tout moment vient agiter ; v.544 (Acte 4, scène 4, UN-BARQUEROLLE)
Hélas ! Toute ma vie v.580 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
Vient de faire éclater son barbare courroux ; v.583 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
Vivons pour nous aimer, vivons, malgré l'envie ; v.591 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
Que notre crainte soit suivie v.593 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
Aimez-moi, tout vous y convie : v.595 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
Hélas ! Que pourriez-vous refuser à ma vie ? v.597 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)

SAPOR (1704)

Le ciel, quand il lui plaît, vient essuyer les pleurs ; v.80 (Acte 1, scène 1, THÉONE)
Qui devait sous ses lois tenir Rome asservie ? v.98 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
Voilà par quel triomphe elle vient se venger, v.99 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
Quel que soit le courroux dont tu m'as poursuivie, v.141 (Acte 1, scène 2, ZÉNOBIE)
En me persécutant, ta fureur m'a servie ; v.142 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
Ah ! Reviens donc, Théone, v.149 (Acte 1, scène 3, ZÉNOBIE)
Que t'a dit Sabinus ? Viendra-t-il dans ces lieux ? v.151 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
De ses traits courroucés puisse attaquer ma vie ; v.166 (Acte 1, scène 3, ZÉNOBIE)
S'évanouit souvent, et devient plus légère : v.170 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
Incertain, sous le joug viendra de toutes parts v.279 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
Ne me rendront jamais ma liberté ravie ; v.418 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
Je l'attends. Mais on vient ; ma gloire et mon amour v.435 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Viendra-t-elle en ces lieux ? v.438 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
Ismène à vos regards viendra s'offrir. v.440 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
Mais vous devez encore arracher à l'envie v.493 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
Les traits dont elle peut attaquer votre vie, v.494 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
Traîner dans le repos une indolente vie ? v.522 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
Mais on vient. Que je sens de trouble dans mon âme ! v.529 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
Je viens, plein des transports d'une flamme indiscrète, v.533 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
Chaque jour, chaque instant vient irriter l'ardeur v.591 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
Je ferais plus encor ? Je donnerais ma vie v.617 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
Pour lui rendre un moment sa liberté ravie. v.618 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
Quel trouble en ce moment vient saisir mon esprit ? v.640 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
Que, prodiguant pour moi son sang avec sa vie, v.649 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
Ah, prince ! Dès longtemps par le sort poursuivie, v.701 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
J'ai prévu les malheurs qui menaçaient ma vie, v.702 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
Lorsque l'on se souvient seulement qu'on vous aime. v.746 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Heureux, s'il m'est permis, en dépit de l'envie, v.761 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
De finir à vos pieds ma déplorable vie ! v.762 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Mais vous ne deviez pas, prince, si tôt suspendre v.777 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
Oui, prince, je le sais ; on vient de me l'apprendre : v.790 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
Vous tenez dans vos mains et sa vie et sa mort : v.860 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
Qu'il meure. En le voyant sans vie à vos genoux, v.879 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
Que ne ferais-je point pour lui sauver la vie ! v.889 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
L'amour, de son côté, vient entraîner mon âme. v.946 (Acte 3, scène 4, AURÉLIEN)
Au dépens de l'amour, il faut sauver sa vie. v.970 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
Et qu'importe, madame, à qui vous les deviez, v.1003 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
Le bruit de cet hymen, qui vient de se répandre, v.1025 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
Dieux ! Que deviendra-t-il, quand ma bouche cruelle v.1049 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
Viens, Théone, suis-moi. Mais quelle erreur m'emporte ! v.1061 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Ne me souvient-il plus de ces fers que je porte ? v.1062 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Madame, jusqu'ici votre innocente vie v.1077 (Acte 4, scène 1, THÉONE)
C'est donc peu contre lui que la rage et l'envie ; v.1085 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
Vient obscurcir l'éclat de votre beau visage ! v.1098 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Qui ne peut être à moi ! Ciel ! Que viens-je d'entendre ? v.1125 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Ne pouviez-vous encor quelque temps vous contraindre ? v.1161 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Vous me suiviez longtemps et du cour et des yeux ? v.1180 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Je le dirai pourtant : du destin poursuivie, v.1221 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
Par les coups de l'amour j'ai commencé ma vie, v.1233 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Voilà pour quel usage on me laissait la vie ! v.1257 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Ah ! De quels soins cruels viens-je ici m'affliger ? v.1279 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
J'aurais abandonné ma languissante vie v.1305 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Quel malheur ! Quel revers ! Dieux ! Quelle est donc ma vie ? v.1354 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Non, non, vous n'irez point : qu'il vienne ici, s'il ose, v.1373 (Acte 5, scène 1, ZÉNOBIE)
Sabinus ne vient point, il faut l'aller chercher ; v.1393 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
Je viens vous en porter les dernières nouvelles ; v.1439 (Acte 5, scène 3, AURÉLIEN)
Je te le dis encor, pour assurer ta vie, v.1451 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
Il faut qu'auparavant la mienne soit ravie. v.1452 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
Pourquoi m'enviez-vous la gloire de mourir ? v.1462 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
Je triomphe : un rival à mon sort porte envie. v.1467 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
Tout le regret que j'ai d'abandonner la vie v.1468 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
Vient de t'y voir encor : c'est un crime pour moi v.1469 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
Ce n'est donc que pour moi qu'on devient pitoyable : v.1487 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
Viens m'y voir dans les bras de ton rival heureux. v.1574 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)

ARLEQUIN AUX ENFERS (1689)

- Bonjour, ma petite femme ; d'où vient donc que vous n'êtes pas noyée ? (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
Je veux vous voir les instruments à la main, quoique vous ne soyez qu'un chantre du Pont-Neuf, et que vous ne deviez chanter qu'avec des grenouilles, ou braire avec des ânes comme vous. » (Acte 1, scène 1, AMPHION)
'Voilà de jolis profits ; mais aussi on a bien de la peine : c'est un rude métier : il faut quelquefois chanter quand on a envie de boire. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Tout ce que je puis vous dire, c'est que je ne me souviens pas d'avoir été plus grande. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Mon père a fait mille combats en sa vie, où il a toujours tué son homme. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Je vous dis, madame, que si vous l'aviez vu travailler, il vous aurait fait envie de vous faire pendre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Comme ce sont peut-être des talents de famille, vous deviez prendre la charge de monsieur votre père. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Oui, si vous voulez me promettre de m'épouser, je vous promets, moi, de la faire crever dans deux jours comme un vieux mousquet. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Comme un vieux mousquet ! (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
Je me promenais sur les bords du Cocyte, pour travailler plus en repos à ma harangue, et tu viens te jeter au travers de mes conceptions ! (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
J'ai été le plus bel esprit de mon temps, et j'ai fait en ma vie plus de cent comédies. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Passé, en corps et en âme, deux carabins de symphonie, soi-disant musiciens de l'Opéra, qui viennent redemander leurs femmes. (Acte 1, scène 9, CARON)
C'est ce qui fait que je viens implorer votre clémence, et vous prier, par tout ce que vous avez de plus cher, au nom de l'amour que vous vous êtes porté l'un et l'autre, de m'accorder la grâce que je vous demande, de me rendre à un mari que je chéris plus que toute chose au monde, et je serai obligée de faire le reste de ma vie des voeux pour la santé et la prospérité de vos majestés diaboliques. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
Ainsi, puisqu'il vient me chercher de si loin : c'est une marque qu'il ne saurait se passer de moi ; mais il ne m'aura que par le bon bout : je prétends avoir des conditions si avantageuses, qu'on ne puisse pas me reprocher d'avoir gâté le métier... (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
Si vous l'aviez une semaine, je courrais grand risque la suivante de ne pas entrer en exercice. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
On n'est jamais bien servi par ces vieilles-là. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)

Dans les 1862 textes du corpus, il y a 21 textes (soit une présence dans 1,13 % des textes) dans lesquels il y a 841 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 40,05 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Prologue	Total
1	LA S?R?NADE	29	0	0	0	0	0	29
2	LA SÉRÉNADE	3	0	0	0	0	0	3
3	LE JOUEUR	19	20	18	23	14	0	94
4	LES SOUHAITS	14	0	0	0	0	0	14
5	LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES H?TELLERIES.	10	15	3	0	0	0	28
6	LE BAL	24	0	0	0	0	0	24
7	ARLEQUIN, HOMME ? BONNES FORTUNES.	7	5	15	0	0	0	27
8	LES VENDANGES	10	0	0	0	0	0	10
9	DÉMOCRITE	15	14	11	9	8	0	57
10	LA COQUETTE, OU L'ACAD?MIE DES DAMES.	17	18	7	0	0	0	42
11	LE DISTRAIT	0	0	0	0	1	0	1
12	LE DISTRAIT	13	14	16	9	12	0	64
13	LE RETOUR IMPR?VU	40	0	0	0	0	0	40
14	ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME	18	0	0	0	0	0	18
15	ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME	1	0	0	0	0	0	1
16	LES M?NECHMES, ou LES JUMEAUX	0	1	0	0	0	0	1
17	LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX	2	20	16	20	8	0	66
18	LA CRITIQUE DE L'HOMME ? BONNES FORTUNES.	8	0	0	0	0	0	8
19	LA CRITIQUE DU L?GATAIRE	11	0	0	0	0	0	11
20	LA CRITIQUE DU LÉGATAIRE	1	0	0	0	0	0	1
21	LE L?GATAIRE UNIVERSEL	0	1	0	0	0	0	1
22	LE LÉGATAIRE UNIVERSEL	13	17	21	18	19	0	88
23	LE DIVORCE	14	8	19	0	0	2	43
24	SAPOR	10	14	14	15	11	0	64
25	ARLEQUIN AUX ENFERS	16	0	0	0	0	0	16
26	LES FOLIES AMOUREUSES	0	18	37	0	0	11	66
27	LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES.	0	3	0	0	0	0	3
28	LE CARNAVAL DE VENISE	0	7	3	9	0	0	19
29	ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES.	0	0	1	0	0	0	1
30	LE DIVORCE	0	0	0	0	0	1	1
	Total	295	175	181	103	73	14	841